SAUVÉS PAR LA FOI

Croire que toutes choses et tous les êtres vivants ont été créés par Dieu est un acte de foi. En tant que chrétiens, nous choisissons de croire.

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Croire quoi ? Croire en Dieu ? Nombreux sont ceux qui croient en une « puissance supérieure » et s’arrêtent là. Qu’ils nomment cette puissance Dieu, destin ou autrement, ils choisissent de se positionner en observateurs, intéressés ou indifférents, et vivent leur vie sans Dieu.

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Être chrétien suppose d’aller beaucoup plus loin ! Il ne s’agit pas seulement de croire « en Dieu », mais de CROIRE DIEU.

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Car le Dieu que connaissent les chrétiens est un Dieu de relation, un Dieu qui se fait connaître, un Dieu qui a une volonté et un projet pour l'Homme. Un Dieu qui nous parle à tous au moyen de la Bible qui est Sa Parole.

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Dieu est AMOUR et LUMIERE. L’AMOUR conduit Dieu à vouloir le bien de sa créature, la LUMIERE met en évidence toutes choses, les bonnes et les mauvaises.  Dieu est JUSTE et SAINT. Il ne peut supporter aucun péché.

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Or l’Homme pèche : il fait sa volonté propre, sans considération pour la volonté de Dieu, voire sans considération pour Dieu lui-même.

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La combinaison de ces deux éléments : JUSTICE de Dieu et PÉCHÉ de l’Homme, conduit inexorablement à la séparation éternelle entre Dieu et l’Homme, à la mort éternelle.

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Récapitulons donc : Dieu aime l’Homme et veut son bien. L’Homme ne veut, ni ne peut, faire la volonté de Dieu et Dieu ne tolère aucun mal. Comment résoudre ce problème ?

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Cette question traverse toute la Bible : « comment l’homme sera-t-il juste devant Dieu ? ».

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C’est impossible.

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La Bible le déclare sans aucune équivoque : « Tous ont péché et n’atteignent pas à la Gloire de Dieu » et « un homme ne pourra en aucune manière (…) donner à Dieu sa rançon ».

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Impossible pour l’Homme. Mais pas pour Dieu.

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Car Dieu savait dès avant la création de l’Homme que sa créature serait désobéissante. Dans son Amour et son infinie Sagesse, il avait prévu le moyen de concilier son AMOUR et sa JUSTICE, sa SAINTETÉ et sa BONTÉ. L’Homme ne pouvait pas s’approcher de Dieu, alors Dieu s’est approché de l’Homme.

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Il est venu lui-même, s’incarnant dans la personne de JÉSUS, Fils de Dieu, parfaitement Dieu, parfaitement Homme.

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Jésus a marché sur la Terre en se conformant en toutes circonstances à la volonté de son Père. Et à la fin de cette marche parfaite, il est mort sur une croix, payant à notre place le prix de notre salut éternel. Dieu devait juger le péché, c'était une question de sainteté et de justice. Alors il a frappé son Fils à notre place.

 

Jésus est mort pour que nous ayons la vie éternelle. Son sang a coulé, nos péchés ont été pardonnés.

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Mais Dieu n’a pas permis qu’une victime sainte et parfaite reste dans le tombeau. Alors, le troisième jour, Christ est ressuscité et est monté au ciel, où il attend désormais de venir nous chercher.

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Quelle joie, quelle reconnaissance ! Jésus a expié nos péchés et nous sommes gratuitement au bénéfice de cette œuvre. La seule condition est de l’accepter sincèrement pour soi-même, de pouvoir dire : « j’étais pécheur et Dieu, dans son Amour, a frappé son saint Fils, le Christ Jésus, à ma place, puis l’a ressuscité d’entre les morts ».

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Il est maintenant temps de donner la réponse à la question posée en introduction de cette page. Cette question fut posée par un homme à l’apôtre Paul il y a bientôt 2000 ans. Et le cœur plein de certitude et de confiance en Dieu, nous répondons avec Paul :

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